Qui a inventé le stretching ?
Sur le plan historique c’est Bob Anderson qui est le précurseur de cette pratique. Il eut en effet l’idée de retirer du yoga, du training autogène et de la gymnastique chinoise, diverses techniques traditionnelles pour les élaborer en une méthode moderne, homogène.
La bonne manière de s’étirer.
Pour étirer correctement les tissus du corps, la respiration doit être synchronisée avec le stretching. En augmentant l’intensité, à savoir l’amplitude du mouvement pendant l’expiration.
En synchronisant la respiration et l’étirement, tu auras plus de facilité à sentir les zones de tensions, à avoir la bonne position et à tenir sans en avoir marre d’attendre.
Une bonne respiration implique le diaphragme.
Il faut inspirer par le nez en gonflant le ventre et expirer en poussant le ventre vers l’intérieur. Exactement comme un bébé qui dort sur le dos.
Le stress nous conditionne à ne pas respirer correctement, c’est quelque chose que nous devons réapprendre.
Etirements statiques
Pour calmer le système nerveux en fin d’entraînement, nous utiliserons des étirements statiques.
Bien qu’ils soient appelés « étirements statiques », tu verras dans l’article qu’il faut bouger pendant l’étirement pour en tirer les meilleurs bénéfices.
A l’inverse de l’échauffement, les mouvements vont se faire lentement, avec une respiration profonde, pour étirer tous les muscles ainsi que les tissus conjonctifs.
Etirements dynamiques
Avant de s’entraîner, le but est d’être chaud et de préparer le corps à bouger avec toute l’intensité nécessaire.
Pour y arriver, il faut utiliser des étirements dynamiques pendant l’échauffement.
Les étirements dynamiques aident le corps à s’échauffer en augmentant ta capacité à bouger.
Ils se caractérisent par leur rapidité d’exécution et l’augmentation de l’amplitude de mouvement au fil des répétitions.
Ils servent à augmenter tes performances pour la séance sportive ou de musculation qui va suivre.